LAMITTA FRANGIEH ALIAS ENHEDUANNA SARGON (10) : PLAGIAIRE, AFFABULATRICE ET MANIPULATRICE.

Alors, qui est Malika Zekhnini? Comme elle le dit elle-même, un des premiers contacts de Frangieh, où l'on retrouvait les réflexes conditionnés qui dirigeaient son discernement: "l'éternelle beauté" de Frangieh et ses corollaires imaginaires, que sont la modestie  et la gentillesse, accordées plus volontiers au gens dits "beaux".

 

C'est une des plus ferventes supportrices de l'Incarnation, qui l'aveugle avec des citations qu'elle pille.

A  mille lieues de comprendre le triple sens profond que signifiait , à cet instant la situation. C'est ce que l'on pourrait appeler un comble; comme ceux des devinettes: Quel est le comble de la médiocrité? "Adresser un texte écrit par une personne qui le plagie, trop médiocre pour l'avoir créée elle-même, qui explique la médiocrité des gens qui le lisent ." La médiocrité est un mot qui revient souvent dans les propos de Frangieh.

Sébastien-Roch Nicolas de Chamfort (1740-1794), Poète, journaliste, moraliste.

Malika  applaudit aux bons mots qu'elle lit, comme tant d'autres au même moment.

Malika reconnait avec un  sincère respect, la profondeur de l'intelligence de Frangieh. Disons les choses comme elles sont: Frangieh est depuis un bon moment dans sa tête.

 

 

Ce qui nous met une Miss Frangieh direct sur l'orbite: "Moâ Personnellement Jeuuuu Pââânnse que Moââ J'ai, bla, bla, bla ............................."  Remplissez les blancs.

Au passage, c'est exactement la trame qu'utilisent toutes les femmes qui font du woman-show, lorsqu'elles caricaturent leurs semblables. Le coup du : "Il faut dire que j'ai une pudeur des sentiments et des mots", on se croirait dans du Florence Foresti mise en scène de Franck Dubosc.

 

Et la grande Prêtresse  distille même à ses disciples, quelques qualités qu'elle cache aux profanes, mais que dans son humble souci d'enseignement -et afin de les guider-, leur dévoile ce que Dieu lui a offert à elle pour "analyser vite les choses et les personnes". "Vous... Non! Moi... Oui"... nous dit-elle!

A cet instant, il faut que vous vous  imaginiez que Frangieh est en pleine lévitation: 1, 50 m au-dessus du sol. C'est proprement l'extase!

 

Pour ceux qui ne savent pas à quoi on reconnait une personne dans cet état, je précise: vous pouvez la pincer, la piquer, la brûler, elle ne ressent strictement rien. Des expériences plus scientifiques  ont été faites  à partir des années 80, lorsque six adolescents furent en contact avec la Sainte Vierge à Medjugorje, en Bosnie-Herzégovine, et certains le sont encore aujourd'hui en 2014.

Au bout de six études qui s'étendent sur 24 années, et menées par 7 équipes: Bosnie: 1981, France: 1984-85, Italie: 1985-86, Canada: 1988, Le Vatican: 1988, Italie: 1998, France: 2005, les conclusions furent: "Toutes les personnes examinées sont psychiquement équilibrées."

Et comme tous les autres, (peut-être même un peu plus) Malika défend la prêtresse Enheduanna Sargon avec une énergie et un engagement peu communs, à tel point que certains l'attaquent carrément sur ce thème. Comme au cours de la publication d'un énième texte volé:

Ça aussi c'est très récurrent chez Miss Frangieh, ces références systématiques au mensonge. Pour  ses aficionados, cette répétition de sa part est prise pour une virulente critique du Système, alors que dans les faits, c'est sa névrose obsessionnelle qu'elle manifeste. En psy, il est dit que plus une chose est répétée par l'individu, et plus celle-ci porte un signifié qui est supérieur à sa signification première. Frangieh en est un exemple typique. Il n'y a qu'à suivre les traces qu'elle laisse derrière elle. Nous l'avions précédemment vu avec l'histoire de ses "origines", illustrée par cette répétition, ce mantra presque "chamanique": "La ville de mes origines, la ville de mes origines, la ville de mes origines". Nous aurons encore l'occasion de retrouver cette forme de répétition obsessionnelle pour un autre sujet. En attendant, voici le texte original:

José Carlos Somosa, écrivain espagnol.

Prix et distinctions:

-1996: Prix La sonrisa Vertical pour "Silencio de Blanca"

-1998: Prix Café Gijon pour  "La Ventana pintada";

-2001: Prix Fernando Lara pour "Clara et la pénombre";

-2002: Gold Dagger Award 2002 pour "La caverne des idées";

-2007: Prix Ciudad de Torrevieja pour "La Clé de l'abime".

 

Il y a de quoi pleurer, lorsque l'on voit le travail et les titres des gens que Frangieh plagie, et les années de travail que cela représente! Et elle, en moins de deux minutes, elle décide de s'approprier la chose.

 

Pour revenir à l'épisode Malika, voici la scène:

 

Je tiens à préciser, que ce moment -l'affrontement entre les disciples-, est un instant d'une réelle Jouissance pour Frangieh! Je l'ai observé à plusieurs occasions. Il y a deux cas où elle s'éclipse: 1° Quand elle sent qu'elle n'a pas les arguments pour répondre à une question afin d'expliquer un point d'histoire:

Elle appelle "cours d'histoire", les copier/coller qu'elle diffuse sur son Facebook. Elle n'a peur de rien... Si, peut-être de l'obscurité.

Et 2° lorsqu'il y a une rixe verbale entre l'un et l'autre à son propos.

"De toute façon, il faut attendre l'avis de Nadia" autre prénom de Frangieh .

A cet instant, elle savoure tel un petit démon qui a réussi à semer la discorde dans le groupe. Et jamais... je dis bien jamais, elle n'intervient pour faire baisser la pression. Ce qui veut dire, que l'avis de Nadia, tu peux l'attendre longtemps...

Je peux vous assurer,  que cette attitude de sa part est caractéristique, et répond toujours aux mêmes schémas. Comme tout ce qu'elle fait.

Voici les images qui me viennent  en tête pour illustrer le petit monde sur lequel règne Miss Frangié: Celle-ci

L'histoire du devin, c'est l'histoire d'un individu venu de nulle part, qui demande asile et qui possède certaines "connaissances" que les Gaulois ne possèdent pas, et qui arrive à distiller la peur chez certains d'entre-eux, afin de vivre chez eux à leurs dépens.

Et celle-là.

Dans la zizanie, c'est un espion romain qui a un don inouï pour provoquer des disputes, et  qui s'insinue au cœur de la tribu. Se faisant le proche du chef, installant un certain favoritisme auprès des plus importants personnages du village, jusqu'au point d'y installer la jalousie ainsi que la méfiance au cœur de la communauté. Tout le monde se méfiera de tout le monde.

Frangieh n'installe rien de moins.

 

Continuons et finissons l'épisode:

Tout le monde aura reconnu Mahine en pilier de soutien inconditionnel à l'autorité, et ce Mr Issa Hamd  s'il connait si bien Frangieh, il devrait savoir qu'elle est assez grande pour dire ce qu'elle pense à Malika. Au niveau où nous en sommes, la question reste quand même: " Mais qu'est-ce que tu en a à faire de ce que je dis? etc, etc." Il est à noter que ce Mr Issa  Hamd, like comme tout le monde les énormités de Frangieh. Alors, s'il est  comme il le dit :"bien placé pour le savoir", cela réduirait énormément ses possibilités critiques. Car la connaissant si bien, il devrait savoir qu'elle n'est pas si exceptionnelle que ça. Soyons justes, toute son attitude nous l'exprime.

Mais c'est toujours pareil, tout dépend à quelle hauteur de l'échelle, il place le mot "exceptionnelle". Et comme pour Mahine; où est-ce qu'il se situe lui-même par rapport à une moyenne? Tout est une histoire de relativité, et dans le domaine de l'humain, cette notion  est très très flexible.

 

Alors, la grande question? Pourquoi parler de Malika comme d'une dissidente, et que s'est-il passé pour virer d'une situation idyllique, à une guerre larvée et au demi bannissement?

 

J'ai pu remarquer au cours d'un banal échange, -ce sont toujours les choses banales qui révèlent  les personnalités-, que Frangieh s'opposait déjà à Malika dans une espèce de "jeu" qui tendait encore une fois à vouloir opposer un de ses contacts, Arezki Boudaoud, à Malika. D'ailleurs, à cette occasion, Miss Frangieh a encore une fois ruiné son image de soi-disant artiste éclairée.

"Envoie-nous le sit-com de la soirée"

"C'est parti: Frangieh l'artiste. Première"

 

Comme souvent, Miss Frangieh décide de changer son image, et nous affiche celle-ci:

Malika arrive là-dessus et demande...

Et là, vlan! Frangieh les pieds dans son beau décor, "Môa l'artiste-sensible- intellectuelle-cultivée", qui nous sort: "une actrice anglaise dont j'ai oublié le nom". Waoow! Bizarrement, Malika pose la question à 18:01, et Frangieh répond à 18:35 alors qu'elle avait tout le temps pour trouver la réponse. Mais non, elle préfère faire appel à un de ses personnages virtuels: AreZki Boudaoud.

 

Parenthèse

Ah oui...  je ne me souviens plus si je vous l'avais déjà mentionné? Pour Frangieh, Facebook, c'est pas "la vraie vie" comme elle dit. C'est du virtuel. Elle nous ressasse ce que les médias lui rabâchent, et cette théorie est souvent utilisée par elle avec ses '"amis" qu'elle a ramené à son "analyse" :  parler avec quelqu'un sur Facebook, c'est virtuel. Donc, AreZki Boudaoud, c'est un personnage virtuel comme tous ses "amis", comme moi, comme vous, nous ne sommes pas "la vraie vie". 

Et cela lui convient parfaitement parce que c'est mieux qu'un jeu vidéo. Là,  elle peut y jouer autant de fois qu'elle le désire. Un stimulus donnera un certain %  de réponses attendues; mais contrairement au jeu vidéo, il y aura toujours un coefficient d'imprévisibilité. Et c'est ça qui donne le piquant à la vie virtuelle de Miss Frangieh.

 

Par exemple ce que j'écris en ce moment, n'est pas la vraie vie. C'est dingue, hein...?

Je ferme la parenthèse.

Là-dessus, Frangieh n'hésite pas à nous dire : "L'une des personnes les plus cultivées ici c'est AreZki". Cette affirmation est fort étonnante, car je n'ai jamais vu AreZki, venir avec des kilos de documents et porter la contradiction à Frangieh sur un quelconque thème.  Heu... "Porter la contradiction" est une très mauvaise formule, quand on parle d'échanges avec Frangieh, disons plutôt "soutenir un avis de Miss Frangieh", voilà, c'est beaucoup plus juste. Car il n'y a que Dieu qui puisse porter la contradiction à Miss Frangieh... Et encore,  de son point de vue peut-être pas.

 

Mais bingo! Comme Malika, c'est une rapide, elle nous sort avec les moyens techniks de nôôôtre épok le pédigrée de : "une actrice anglaise dont j'ai oublié le nom". Tout cela en argumentant sa démarche.

 

Frangieh ne veut pas du tout entendre parler de la réponse de Malika. Elle la remet en doute, et continue son jeu de séduction sur AreZki, telle une môme de 5 ans.

 

 

AreZki, nous sort alors la photo d'Eva Bartok  aux alentours de 18:49.

 

Et comme on peut s'y attendre, Frangieh est complètement absente au moment où apparait la  réponse qui confirme celle de Malika.

 

Cet exemple,  en est un parmi tant d'autres où Frangieh fait preuve d'une mauvaise foi évidente auprès de celle qui l'a longtemps soutenue.

Son attitude et son scénario sont toujours les mêmes: elle publie un plagiat afin de capter l'attention, et dès que Malika donne son avis, invariablement Frangié prend le contre-pied. C'est systématiquement signé de la sorte. Si par contre Frangieh publie sa bobine  -toujours pour le même but: faire parler-, et que Malika lui dit qu'elle est belle, alors là pas de problème bien sûr.

J'ai dans mes archives un cas d'école de la mauvaise foi de Frangieh contre la lucidité de Malika. En regardant en direct la "joute" entre les deux femmes, j'avais l'impression de me retrouver dans une pièce de Molière, ou peut-être même, dans un de ces dialogues que livraient les sophistes, contre Socrate.  Vous savez ces gens de la Grèce antique, considérés comme des "spécialistes du savoir", dont la maîtrise du verbe leur permettait de passer leur temps à discuter de tout avec dextérité, et dont le but était  uniquement de tester leur efficacité persuasive et non la vérité. Ils tuèrent Socrate par jalousie, parce que lui, en toute simplicité pouvait les terrasser à l'aide de déductions logiques, mais simples, telle que nous le montre la parabole des trois tamis.

La mort de Socrate, tableau de jacques-Louis David (1787)

Un jour, un sophiste dit à Socrate:

"Écoute Socrate, il faut que je te raconte comment ton ami s'est conduit.

-Arrête, interrompit Socrate. As-tu passé ce que tu as à me dire à travers les trois tamis?

-Trois tamis? dit l'autre, rempli d'étonnement.

-Oui mon bon ami: les trois tamis.

Examinons si ce que tu as à me dire peut passer les trois tamis:

Le premier est celui de la vérité. As-tu contrôlé si ce que tu veux me raconter est vrai?

-Non, je l'ai entendu raconter et ...

-Bien, bien. Mais assurément, tu l'as fait passer à travers le deuxième tamis. C'est celui de la bonté. Ce que tu veux me raconter, si ce n'est pas tout à fait vrai, est-ce au moins quelque chose de bon?

-Hésitant, l'autre répondit: Non, ce n'est pas quelque chose de bon, au contraire...

-Hum! dit le sage, essayons de nous servir du troisième tamis, et voyons s'il est utile de me raconter ce que tu as envie de me dire...

-Utile? Pas précisément...

-Eh bien, dit Socrate en souriant, si ce que tu as à me dire n'est ni  vrai, ni bon, ni utile, je préfère ne pas le savoir, et quant à toi, je te conseille de l'oublier."

 

Voyons maintenant le dialogue Malika/Sargon:

Frangieh nous sort  d'une façon un peu édulcorée, et on ne sait pourquoi, la fameuse citation hyper connue que l'on attribue à Goebbels: "Si vous racontez un mensonge suffisamment énorme, répétez-le encore et encore, les gens finiront par le croire. Si vous répétez un mensonge assez de fois, il devient vrai."

Devant une affirmation aussi péremptoire, 11 personnes likent pour Frangieh. Mais seule Malika émet une autre hypothèse bien différente. Et en toute logique, demande à Frangieh d'illustrer son propos.

Et après la demande d'éclaircissement de Malika, la sentence tombe!!!

 

"Il n'y a aucun exemple", voilà, point barre. Circule Malika, c'est moi la Grande prêtresse intellectuelle qui ai raison!

 

Malika insiste toujours en gardant sa ligne: qui dit "postulat", dit "faits", donc "illustration". Malika nous dit tout cela avec beaucoup de tempérance.

Malika laisse aussi toutes ses chances à Frangieh afin de s'expliquer: "Un exemple qui te vient en  tête" dit Malika à Frangieh, sous-entendu: "Je peux t'accorder qu'en ce moment tu peux ne pas en avoir". Le tout souligné par un émoticône ";)))", signifiant une compréhension, une connivence entre elles.

A ce stade, Frangieh sort la grosse artillerie, entendez: la négation. Elle ne cherche nullement à expliquer, à "enseigner", à  développer sa petite théorie, non! Elle attaque, jouant la carte de la généralisation, afin de dire que Malika ne distingue absolument pas les subtilités de sa pensée. Ça va loin!

Comme si Malika avait affirmé que tout était postulat. Alors que Frangieh affirme comme une vérité incontournable et immuable que : "croire un mensonge finit par devenir une vérité".

Dire cela au XXIe siècle, à l'heure où tout la philosophie occidentale repose sur la pensée positiviste à la Auguste Comte (1798-1857), qui nous dit que :

 

 

"Seules l'analyse et la connaissance des faits vérifiés par l'expérience peuvent expliquer les phénomènes du monde", et sur la théorie du relativisme culturel à la Franz Boas (1858-1942) qui explique que:

 

 

"Les croyances et activités mentales d'un individu, sont relatives à la culture à laquelle appartient l'individu en question". 

Donc, Frangieh nous sort comme à l'accoutumé une aberration, qu'elle tient à défendre sans argumenter, mais par sa seule "autorité".

En face, Malika à deux siècles de pensée philosophique qui soutiennent son analyse:  "seule l'expérience permet d'expliquer des faits" Auguste Comte, et "les croyances d'un individu sont relatives à sa culture" Franz Boas.

C'est à dire  que:
1° il est plus que certain, qu'un mensonge ne reste pas un mensonge fût-il doré, dans l'absolu. Au sens que; cette règle qui vaut apparemment pour Frangieh, n'est pas forcément transposable auprès des  7 milliards d'individus sur terre. Un businessman américain, ne pense pas la croyance du  mensonge comme un bushman australien.

2° la demande d'exemple est tout à fait légitime de la part de Malika, Mieux, c'est la seule proposition à faire, au nom de l'expérience comme explication des faits, afin que la conversation ne se perde pas dans tous les sens et garde une cohérence.
3°, c'est effectivement à Frangieh de démontrer, puisqu'elle est l'instigatrice du débat. Débat qu'elle recherche telle une sophiste. Plus que moyenne au vu des faits.

 

 

Mais Malika, avec humilité, nous la joue tel un Socrate devant le grand Hippias dans un des   dialogues socratiques au sujet du beau, en fournissant à Frangieh la solution qui correspond exactement à son affirmation:

 

Par son explication, Malika mettait le doigt sur l'énorme différence  -que Frangieh fût incapable de faire-, 1°un esprit qui croit un mensonge et qui l'accepte comme vérité, et 2°le fait que le mensonge existe comme concept existentiel jusqu'au point de ravir la place à LA Vérité Universelle et Éternelle, qui elle, dépend de Dieu et non des hommes. Et d'ailleurs, Michel Horzum l'énonce  très tôt lorsqu'il dit: "Chez nous ont dit: "quand tu répètes 40 fois un mensonge, tu finis par croire c'est une vérité.", alors que Frangieh nous dit: "Quand on croit à un mensonge il finit par devenir vérité." Mais Frangieh, tellement aveuglée par son égo, n'a pas pu voir que Michel Horzum venait de lui livrer la solution. Elle l'a lourdement balayé avec un  dédain : "C'est une conception de l'esprit." Comme si son affirmation sans consistance n'est pas une vue de son esprit.

Certains peuvent penser que je suis en train de couper les cheveux en quatre,  mais normalement, au niveau où Frangieh prétend jouer,  -une subtilité de ce poids-, cela n'aurait jamais  dû lui échapper. Jamais!!!

En plus, c'est avec ce genre de différence ténue que l'on peut très vite aboutir au quiproquo.

 

Donc, au  moment où Malika porte son coup fatal, la sorcière bien aimée disparait... floup... l'est pu là...

Et accessoirement, les dix personnes qui ont liké au début, n'ont absolument pas levé le petit doigt, comme pour le sit-com : "Je suis enseignante au collège". La question reste: soit elles se sont soumises, soit, elles avaient un avis sur la question -mais fait important-, aucun argument. Quant à Mahine, sa réflexion est complètement décalée puisqu'elle ne s'adresse pas à la bonne personne. La tenante du titre de sportive cérébrale, n'est pas Frangieh mais Malika. Il paraitrait que cette subtilité-là,  Mahine ne peut absolument pas l'appréhender.

 

Si, une seule des 10 autres personnes avait seulement énoncé cette phrase de Gandhi à Frangieh, histoire de soutenir Malika:

 

Et il est même très étonnant, que Miss Frangieh soutienne son hérésie jusqu'à l'absurdité, alors qu'elle se réclame de l'Islam, et que l'on peut trouver cette citation dans le Coran:

 

 

 Frangieh, n'aime pas le bon sens, la rationalité, la logique. Et c'est normal, car s'il elle veut manipuler, il lui faut absolument embarquer sa proie vers la mouvance marécageuse du subjectif. Jamais, elle ne s'appuie sur le rocher de l'objectivité. Et pour elle, elle est persuadée que tout ce qui est du ressort de la nature humaine, ne peut absolument pas être objectivé. Cela lui permet donc, de dire tout et son contraire, d'un post à l'autre.

Autre exemple:

 

Malika, comme elle sait le faire, répond à Frangieh par la déduction, en reprenant le terme de "séduction" et en reconnaissant la place que  tient la femme. C'est à dire que Malika ne transgresse en rien la pensée émise par Frangieh, bien au contraire elle la reconnait.

 

N'oublions surtout pas au passage de reconnaitre le véritable auteur du plagiat frangiehien.

Gilles Lipovetsky, Pr agrégé de philosophie, membre du Conseil d'analyse de la société.

 

Et direct, Frangieh prend le contre-pied de l'observation de Malika: c'est à dire que le mot "séduction", ne correspond plus pour Frangieh à sa signification première. Et pour bien le détourner, elle laisse planer que Malika parlerait de "jeux de séduction", c'est  à dire qu'elle lui fait tenir des propos que Malika n'a jamais tenu. Puis, elle parle d'elle.
Promptement, Malika revient à la réalité des relations hommes/femmes, entendant par- là que les choses sont gérables, et en toute simplicité.

 

Frangieh continue sur sa lancée, puisque l'analyse comportementale et rationnelle de Malika ne l'intérresse pas. Tout ça n'est pas assez shakespearien, pas assez torturé, c'est trop banal.

 

Et c'est un dialogue très intérressant, car on peut observer que lorsque Frangieh arrive avec son discours (manipulateur), d'une espèce d'enfermement passionnel de la condition hommes/femmes/séduction, Malika propose l'utilisation de l'esprit distancié et critique.

Frangieh parle  d'aimant", de magnétisme;

Malika parle de sagesse;

Frangieh parle "d'aura";

Malika parle de "pouvoir"

Et pour finir, La  Diva Frangieh conclue avec une de ses grandes spécialités: la contradiction. Elle est capable de nous dire dans la même phrase -uniquement pour descendre les propos de Malika- : "Personne n'a aucun pouvoir" avec: "tout se fait autour de l'hypocrisie". Finissant par un "hélas" de philosophe conscient de l'abîme  séparant l'Être humain de la Vérité absolue.

C'est Malika qui a raison, c'est Frangieh qui est la voleuse, qui délire, et malgré tout: Frangieh récolte 8 likes/ Malika 0. Comme d'habitude, personne ne perçoit le raisonnement  sain et construit de Malika face aux distorsions contradictoires proférées par Frangieh.

 

Rien n'est plus clair chez Frangieh que ses distortions. Ceux qui disent le contraire ne l'ont jamais poussé jusque dans ses retranchements -encore j'exagère, il n'est même pas besoin d'aller si loin-, il suffit seulement de ne pas être en contradiction avec elle.

 

Il faut savoir où vous rentrez lorsque vous mettez, ne serait-ce qu'un seul  pied dans son monde... à elle!

La citation "Silentium est virtus": Le silence est vertu, tient la même place, a la même valeur,  que l'utilisation qu'elle fait de son pseudo "Enheduanna Sargon".

 

Tiens... un petit détail, Frangieh a posté ces deux images pendant la montée de la pleine lune 6 novembre. Amusant...

Mais, sa couverture de journal et l'avatar ne sont pas restés longtemps à l'affiche. Serait-ce lié à une réflexion de Mr Amirepour?

Quoi qu'il en soi, elle l'a échangé contre celle-ci:

Avec ce commentaire:

Ce commentaire est surprenant car dans son interview du 21 août 2011, elle ne cite que Paris et Londres comme villes qu'elle aime. Je développe ça un peu plus loin.

Et en cherchant, où Frangieh est allée récupérer la photo de l'avatar en bas à gauche, je peux lire ça:

Disons, pour faire court, que des satanistes s'évertuent à salir l'image du Christ. C'est une insulte faite à l'encontre des catholiques par les francs-maçons qui cherchent à éradiquer le catholicisme en utilisant ses symboles -comme c'est expliqué en commentaire-, afin de les confondre dans le monde des impuretés.

Il est évident que le faciès de ce mannequin, qui est loin de représenter la virginité et la pureté, mais plus proche de l'image du travesti prostitué, n'est pas un hasard.

Conclusion, Frangieh, ne naviguant que dans le monde du paraitre, est incapable de voir qu'elle est -comme beaucoup-, un instrument utilisé à la désacralisation de l'Être Humain et de sa spiritualité, dans le grand projet mondialiste:

 

Elle tire tout le monde vers le bas, comme la télé, le cinéma, la mode, les jeux vidéo.

Quand je pense qu'aucun de ses "amis", n'a été capable de détecter la citation ci-dessous, comme un plagiat, on n'est légitimement en droit de se poser des questions au sujet de la porosité des cerveaux de nos contemporains à la manipulation:

Pierre Rabhi, agriculteur biologiste et romancier

Et tout cela galvanise Frangieh pour  vilipender des gens, qui font peut-être moins de torts qu'elle, mais qui la gêne quand même:

Quelle violence dans ces propos, quelle condamnation et quel manque d'humilité.

 

Et dire qu'au début, j'étais seulement parti pour écrire un petit quelque chose au sujet de l'influence des réseaux sociaux sur les comportements de nos contemporains, dans le genre: "Est-ce que Facebook, favorise le dédoublement de personnalité? Ou encore: "La manipulation ordinaire", (ça c'est pas mal et ça me plaisait beaucoup). Mais, quand j'ai creusé le cas Frangieh, il me devint impossible de seulement survoler le thème. Trop d'injustice! Que l'on délire dans son coin, OK! Mais que l'on envoie des gens dans l'erreur, qu'on les insulte de la sorte, non! D'autant plus que Frangieh insulte tout le monde, moi y compris. Donc, cet article est tout à fait légitime. Et j'attends que Mr Amirepour, vienne me démontrer le contraire, mais avec d'autres arguments que son éternelle phraséologie: "ils sont tous jaloux de toi Enheduanna".

Image diffusée par un des amis de Miss Frangieh. C'est ce que j'appelle: "le niveau critique de la critique."

 

Bon, excusez la digression. Revenons à Malika

Bref, après quelques épisodes de la sorte, Malika se rend compte que Frangieh la méprise, et jusqu'au jour où lassée, elle fit comprendre publiquement  -sans entrer dans une polémique, ou dénonciation personnelle-, qu'elle en avait marre de certaines attitudes sur Facebook:

Et quelques temps plus tard, elle publiait ceci:

Melle Fragieh ne peut pas liker ce genre de texte, parce que sa "beauté", c'est le fondement même de sa vie, c'est son fond de commerce. Car comme le dit Jésus dans Matthieu XII, 26: "Si Satan chasse Satan, il est divisé contre lui-même. Comment son royaume subsistera-t-il?"

Je me souviens d'un collègue et  ami, Philippe  qui m'a dit un jour en parlant de lui : "Si j'avais été beau, je serais devenu con."

Lorsque je travaillais avec les enfants, j'avais remarqué que ceux qui avaient  comme on dit un physique ingrat ou une constitution fragile,  développaient une intelligence beaucoup plus fine et subtile.

On retrouve d'ailleurs cette observation  chez le psychanalyste Alfred Adler dans son ouvrage "Le tempérament nerveux" 1948.

Dans cet ouvrage, Adler explique que l'individu nait et grandit avec un sentiment d'insécurité, qu'il nomme "Minderwertigkeit : infériorité ", et que selon les handicaps qu'il a, l'enfant va se développer un système  de défense, un état de protection, "Geltungsstreben" afin de compenser les déficiences organiques,  que l'on peut traduire par: une quête de supériorité.

On peut aisément penser, qu'un individu qui n'a aucun "handicap" physique, et dont le physique correspond aux critères de beauté de la société dans laquelle il évolue, aura non seulement moins besoin de mettre en place de façon psychologique un système de défense -puisque tout autour de lui le valorise sans aucun effort-, mais de plus, son unique référence restera son apparence extérieure.

 

C'est Sandrine Bonnaire qui avoua un jour sur France Inter, qu'elle a longtemps usé de son sourire pour acquiescer dans des conversations intellectuelles alors qu'elle ne comprenait absolument rien à ce qui se disait. Mais elle avait très tôt compris qu'à son sourire, les gens pensaient qu'elle les comprenait, et qu'elle abondait dans leur sens.

Pour avoir fait quelques séjours comme je le disais dans ces endroits à forte densité d'artificialité, j'ai pu aussi me rendre compte avec quelle facilité, les gens vous donnaient du crédit, vous ouvraient des portes, vous proposaient même des choses que vous ne demandiez même pas. Uniquement parce que vous correspondiez aux critères de l'esthétique. C'est à dire... du vent, car le revers, c'est que passé la date limite... de "désirer" à "utiliser", vous en devenez jetable.

 

Mais il semblerait que la lucidité, l'évolution de Malika ne fut comprise par personne dans le clan Frangieh, car elle continue à être la référence de celle qui vénérait Sargon, alors qu'elle ne participe plus  aux chamailleries de ce groupe d'ados attardés, qui continue lui à rester: "l'Endroit où l'on pense", et où des intelligences supérieures, débâtent de thèmes hautement évolutifs:

Mahine est toujours coincé dans l'ornière "des gens qui ne sont pas à la hauteur, qui sont jaloux pour beaucoup". Ceci dit, je les cherche toujours chez Frangieh, ceux qui seraient à la hauteur, ainsi que les jaloux. Mr Amirepour, sortez-nous des commentaires, où se manifestent ces fameux jaloux.

Il est temps que je termine, et que je sorte de cet exposé...!!!

 

Grande parenthèse:

J'aimerai placer ici une petite précision. L'épisode "Eva Bartok", m'a amené vers une conclusion qui est que Frangieh n'aime pas l'art, contrairement à ce qu'elle clame avec force. Il faut savoir que dans les milieux branchés, dire "J'aime l'art, j'aime tel tableau, sculpture, etc", n'est qu'une posture. Et d'ailleurs Frangieh nous le fait bien comprendre à propos d'Eva Bartok, avec sa phrase "Une actrice anglaise dont j'ai oublié le nom".

Car dans ces milieux, les propriétaires d'œuvres d'art s'intéressent plus à la valeur marchande qu'à la matière utilisée, à la technique pratiquée, au temps passé, ou à la condition sociale de l'artiste.

Pour ces gens-là, l'œuvre a deux grandes fonctions fondamentales: 1°  le placement financier qu'elle représente, souvent exprimé par : "A combien tu l'as touché?" et 2° le rejaillissement social que l'œuvre représente, et qui se projette sur la personne du propriétaire. Point mieux connu sous le terme de : frime.

Frangieh nous illustre cet aspect utilitaire de l'art, dans la mesure où elle ne fait qu'en parler avec emphase, mais surtout, qu'on ne la voit jamais sur une photo devant une œuvre d'art, dans une quelconque exposition, devant un monument, ou même une grande bâtisse classée, un musée,  une mosquée, un château, une cathédrale, que sais-je encore. Jamais!

 

Alors que cette partie de mon article est déjà écrite depuis une bonne quinzaine de jours, aujourd'hui, Frangieh nous poste un tableau avec le commentaire qui vient  vous confirmer mes dires. Peux pas mieux faire, comme illustration afin de vous apporter la preuve que je n'invente rien, et que je sais de quoi je parle:

 

Dans son interview du 21 août 2011, voici ce que répond Frangieh aux différentes questions. Cela donne une réelle vision de sa véritable culture:

 

A la question: quel est votre passe-temps favori? Elle répond: "Les voyages".

السفر

Bon en gros elle veut dire: avions, grands hôtels, la foule, le dépaysement. En un mot, le mouvement. Rien sur la pratique d'un Violon d'Ingres, ou d'une quelconque passion comme  la photo, la peinture, le chant,  la gym, la méditation...

A la question: "quel est votre pays préféré?", elle répond Paris et Londres. On peut remarquer, que la question porte sur un pays, et qu'elle donne seulement des noms de villes. Et les deux villes nommées ont le grand point commun d'être quasiment les capitales de la mode en europe. Là, plus rien sur l'Italie comme: "plus beau pays d'Europe". Quand on a dans la tête comme référence "le plus beau pays d'Europe", ça ne s'oublie pas comme ça au cours d'une interview, où le but est surtout de faire la promotion de soi, de sa personne, bref: d'afficher le meilleur.

Rien non plus sur une ville comme Florence:

Florence: berceau de la Renaissance italienne, capitale du Royaume d'Italie de 1865 à 1870, inscrite sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco. Florence présente une des plus grandes richesses artistiques d'Europe: Palais, musées, églises, loggias, fontaines, ponts, cafés historiques, les arts dans la ville, etc, etc, etc. Tous les grands amoureux de l'art prennent Florence comme référence incontournable.

 

A la question, qu'elle est votre acteur préféré: "Jason Stadtam". C'est pauvre. On ne peut pas vraiment dire que Stadtam fasse du cinéma d'auteur.

 

 

On le trouve plutôt dans les blockbusters, violents, speeds, aux scénarios et  textes minimalistes. Bref nous sommes en plein dans la machine à broyage de la pensée hollywoodienne, et propagandiste américaine à mort: la guerre aux arabes. Donc, Stadtam fait  la guerre aux "Ôriiigiiines!" de Frangieh!

 

 

"Hollywood et Washington ont le même ADN" Jack Valenti (1921-2007).
Cet homme qui fut le conseiller spécial du Président Johnson, devint le dirigeant du cinéma hollywoodien de 1966 à 2004. Lorsque l'on sait cela, sa phrase devient lourde de sens.

 

Propagande Hollywood anti arabe

 

Donc, quand on sait que les sionistes qui dirigent  Washington  sont les mêmes qui dirigent Hollywood, que Washington déstabilise les pays arabes pour s'en servir comme arme contre l'Europe, et nous mettre sur pied la guerre mondiale III, c'est-à- dire, en impliquant la région où vit Miss Frangieh, on peut penser qu'elle a une vue très courte, puisqu'elle adule un personnage -Stadtam-, qui œuvre contre ses intérêts. Mais comme nous le constatons depuis le début, Frangieh fonctionne à la pulsion, pas à l'objectivité. Ce qui fait, qu'une quantité monumentale d'information lui échappe.

Elle croit qu'elle raisonne -au sens philosophique: utiliser sa raison pour en tirer des conclusions et s'y adapter. Mais elle,  sa véritable démarche consiste à vouloir tordre des faits, afin qu'ils correspondent à ses désirs. Et pour ce faire, elle est obligée d'évacuer tout ce qui la gêne. Ce qui, fait qu'il y a des choses qu'elle ne voit pas, qu'elle ne veut pas voir,  qu'elle oublie... N'oublions pas qu'elle est affabulatrice.

Je ferme la parenthèse.

 

Frangieh qui pose devant ce qui lui ressemble.

 

Les seules images qui représentent des monuments et qu'elle envoie  sur son Facebook, ne sont que des images du Net. Jamais les siennes.

Comme pour l'illustration de sa culture livresque, on ne la voit jamais avec un livre à la main. Jamais! Jamais vu une seule référence de livre sur son Facebook.

Journal Royal Monaco

 

Tout ça m'a également conduit à me poser des questions à propos de son amour du cheval et de ses compétences en équitation. Et je vais tenter de vous expliquer en quatre épisodes photo, pourquoi, j'émets certains doutes à ses affirmations.

La première publication que j'ai croisée chez elle et qui parlait du sujet, fut celle ci- dessous, avec les commentaires  mondains:

 

 

Je note  au passage qu'un de ses admirateurs fait référence au poker.

 

 

Qu'est-ce que cela m'inspire? Lorsque je remonte doucement de la cause jusqu'à la globalité, plusieurs choses ne collent pas. Ne connaissant absolument rien au monde du polo, mis à part quelques idées communes identiques à celles que  nous véhicule Frangieh, je me suis mis à chercher.

 

D'abord, elle! A propos de cette photo où elle parle du polo, -où d'ailleurs paradoxalement il n'y a pratiquement personne d'autre qu'elle sur la terrasse-, Frangieh nous fait dans le mondain, c'est à dire que le polo, a la même place que l'art dans la Jet Set: standing, standing, standing social. Et elle nous le fait bien savoir, en expliquant à Quinte Flopé avec sa condescendance habituelle: "Le seul sport où il faut être habillé classe." Elle laisse ainsi sous-entendre, comme elle le fait souvent: "On n'est pas du même milieu." (Je fais court). Tout ça pour dire -comme à son habitude-, que c'est surtout l'image qui l'intéresse, et l'image du polo cadre parfaitement avec ce qu'elle a voulu faire passer.

Seulement voilà, dans un article du journal le Monde du 29 septembre 2011,  on peut y lire un article qui nous parle de l'image du polo: "Le polo peine à se défaire de son image élitiste: Lien.

 

L'article explique que :

On peut noter que l'article parle précisément de la pratique. Alors, je suis allé voir combien coûtait en moyenne le prix d'une place de spectateur.

Je pensais que les tarifs, pour assister aux rencontres étaient beaucoup plus élevés. Puis, j'ai cherché des photos de spectateurs pour l'aspect vestimentaire dont nous parle Frangieh, et j'ai découvert ceci:

 

Côté vestimentaire, nous sommes très loin des images que nous véhicule le cinéma avec les éternelles toilettes de ces dames tout droit sorties de magazines de mode de haute couture, et de ces messieurs habillés tout de blanc.

Ça remet sérieusement en question, l'assertion de Frangié sur le thème: " Le polo, le seul sport où faut être habillé classe:

Là, vous retirez les joueurs et les chevaux du décor, et mettez des footballeurs... rien ne change côté vêtements.

 

Alors, face à  ces informations, et étant maintenant devenu un spécialiste ès Frangieh, je me dis qu'elle nous cache encore quelque chose.

 

Je regarde de plus près la photo et notamment les casquettes sur les chaises. Je me fais le copier/coller magique et voici ce qui apparait:

 

Je peux lire "Salute"

Ainsi que là: