LAMITTA FRANGIEH ALIAS ENHEDUANNA SARGON (8) : PLAGIAIRE, AFFABULATRICE ET MANIPULATRICE.
Pour les personnes qui sont en immersion dans le monde du strass et des paillettes, il y a deux choses dont elles ont horreur: la solitude et le silence. C'est pour cela qu'elles tombent toutes dans l'occupationnite téléphonique, du rendez-vous à tout moment, ou dans l'entretien d'une petite cour sous quelque forme que ce soit. Et Miss Fragieh a trouvé sa petite cour d'admirateurs.
On peut remarquer au passage chez Mahine Amirepour, l'attitude de dissonance cognitive que j'expliquais plus tôt. Qui s'illustre pour lui par: 1° l'impossibilité que la femme si intelligente qu'il admire dise qu'elle s'ennuie, 2° le renforcement de sa négation, en inculpant les autres de la lasser... elle! "C'est pas toi la responsable, ce sont les autres qui sont mauvais!"
Alors, pour tromper son ennui, Melle Frangié s'est constituée un cercle d'admirateurs. Mais comment peut-on avoir un cercle d'admirateurs si obnubilé jusqu'à vous porter un tel Culte?
D'abord nous l'avons vu, il faut leur faire comprendre "subtilement", que vous en connaissez plus qu'eux. Que vous ne venez pas du même milieu. Que vous avez un certain standing. Vous voyagez... tout ça...,
Que vous portez de belles toilettes,
Que vous conduisez de belles voitures...
Attention, petite énigme: Qu'a voulu signifier votre serviteur avec la flèche jaune et les deux cercles? Réponse à la fin de l'article.
Mais surtout, il faut les terrasser avec quelque chose qu'ils n'ont pas, ou du moins, comparez à vous, ils en sont moins bien pourvus, j'ai nommé la "beauté" dite physique, esthétique, plastique, etc:
Eh là, seulement là, on est certain d'avoir ferré les proies tombées sous le charme.
Nous pouvons constater que non seulement, il y a enthousiasme, mais il y a déjà création de dissension vis à vis des hommes. Il faut savoir qu'avec le battage médiatique féministe depuis 40 ans, en plus de l'attitude masculine; C'est de l'essence versée sur des braises.
Les femmes sont d'autant plus virulentes qu'elles peuvent trouver en elle, l'idéal féminin -marketing-, qu'elles ne sont sans doute pas.
Et les hommes tombent dans un des plus gros pièges créés par le cinéma hollywoodien, j'ai cité la "femme écarlate".
Voici à nouveau un bel exemple où l'on pourrait penser que tout ce petit monde : femme et homme, contrôle toute la situation. Mais est-ce réellement le cas?
Le coup de la femme en rouge, ou "la femme écarlate" comme aimait la nommer son créateur Aleister Crowley, fut le cheval de Troie utilisé par le cinéma pour provoquer et alimenter les phantasmes sexuels des hommes. Ce fut un tabac comme jamais on n'en a connu dans l'histoire de la manipulation des consciences. Les gens ne peuvent même pas imaginer.
Il est considéré comme le fondateur du satanisme moderne, le rédacteur de la bible sataniste "Le Livre de la Loi" et de cette fameuse femme écarlate: appelée aussi Babalon, Mère des abominations. C'est pas rien, et cela mérite qu'on y réfléchisse!
Elle représente la pulsion sexuelle féminine, et Crowley la considère comme un sacerdoce spirituel satanique pouvant être véhiculé par les femmes. Cette femme écarlate est souvent décrite une épée à la ceinture, chevauchant la bête biblique. Crowley la considère comme une prostituée sacrée.
Sa plus grande représentante reste Marjorie Cameron (1922-1995), occultiste.
On ne sera pas étonné, dès lors que toute l'industrie hollywoodienne -le premier grand trust de lavage de cerveau à l'échelle planétaire-, ait décliné ce personnage et cette couleur sous toutes les formes.
Une des scènes de Matrix
Et croyez-moi, si la société Walt Disney continue à exploiter le filon, pour faire pénétrer le délire dans la tête de nos enfants, c'est que la recette est payante.
Jessica Rabbit en pleine mastrubation jouissive.
D'autre part, une étude de 2008, menée par l'université de Rochester de New York, concluait que les hommes étaient attirés par les robes rouges. On y trouvait respectivement: "la représentation du péché et de la provocation" , "la vie et la mort", ainsi que d'autres symboles sociaux-culturels. Voir le lien.
Tout cela pour dire une fois de plus que nos trois protagonistes, Melle Frangié, Arezki et Mahine Amirepour, parlent de choses qu'ils croient maitriser, mais qui les dépassent complètement. Ce n'est pas un jugement, c'est un constat et chacun en fait ce qu'il en veut.
Mais si on veut revendiquer sa liberté de penser, on ferait bien dans un premier temps de savoir sur quoi s'appuie cette pensée, sinon, on ne fait que répéter des choses qui ne nous appartiennent pas, et nous nous leurrons sur notre véritable indépendance, vu que l'on diffuse à notre compte les concepts des autres.
LE critère sur lequel s'appuient les aficionados, de Melle Frangié, qu'ils le veuillent ou non est hors de leur contrôle; Mais c'est pourtant sur ce critère qu'il vont en déduire que tout ce que dit et fait Melle Frangié, est juste, ou bien si cela ne l'est pas, ce n'est pas grave, au vu de ses mensurations. On en arrive donc à une petite analyse à propos de l'amalgame très répandu "beauté, discours et vérité".
C'est-à-dire que, le réflexe pavlovien qui nous fait penser que la beauté est forcément liée à l'intelligence, et que, l'intelligence est forcément positive; est une grossière erreur trop communément véhiculée, par un certain 'inconscient collectif". Ce réflexe est entretenu et répandu par toute une filmographie. Ce que nous définissons à notre époque par "beauté", et ce que nous appelons "intelligence", ne sont absolument pas des critères fiables, ou qui se suffisent eux-mêmes pour que nous accordions toute notre confiance à une personne. En plus, nous attribuons ces mots à des facultés que nous pensons ne pas avoir, mais que nous semble posséder les autres. Nous sommes à la limite de l'admiration... c'est une illusion.
Aujourd'hui, en ce début du XXIème siècle, n'importe qui sait que si une personne ne sait pas lire, cela n'est pas forcément lié à un manque d'intelligence, et que nous ne sommes pas plus intelligents qu'elle pour autant. Des conditions sociales ont fait qu'elle n'a jamais appris à lire, et que nous, si. C'est tout. Et même si une personne a un QI de 80, ce n'est pas la peine de la déconsidérer pour autant.
Je rappelle quand même que le monde est gouverné par des gens dits "intelligents" et qu'il coure à sa perte.
Dans un second temps, cette admiration à propos de l'intelligence que posséderaient certaines personnes, nous place -consciemment ou inconsciemment-, dans une position d'infériorité (voir Charles Cooley et son étude), et cette position peut même se transformer en un écran qui diminue, voire même, fait disparaitre complètement notre esprit critique, notre esprit d'analyse. En un mot nous sommes sous le charme.
Et, comme l'idée de l'intelligence est souvent associée -volontairement où pas-, au mot "honnêteté", nous glissons facilement vers cet amalgame: Beauté = intelligence=honnêteté= vérité.
Bon, revenons à la beauté physique. Nous accordons plus de crédit à une personne belle -selon nos critères-, qu'à une personne quelconque ou bien laide. Et celle qui a les traits les plus harmonieux nous paraitra plus intelligente, et même beaucoup plus portée par la gentillesse que la personne laide. Notre esprit est toujours dans ce cas influencé par les légendes et le cinéma.
Alors que dans les faits -et c'est assez important pour le souligner-, une personne belle et intelligente, a plus de chance de nous tromper, -comparé à une personne laide-, vu que nous accordons plus notre confiance à la première qu'à la seconde.
Ce qui fait que le charme n'a jamais permis à quiconque d'être objectif face aux charmeurs (euses). Le charme berce et endort, mais ne permet pas à notre réflexion d'être en alerte, vigoureuse ou dynamique.
On peut dire en conclusion que l'intelligence d'une personne se mesure à la sollicitude, à l'écoute, à la patience, qu'elle a à l'égard des autres, et les limites qui sont quasiment inexistantes lorsqu'on lui porte la contradiction. Car dans son humilité, elle est ouverte à l'échange, jusqu'à reconnaitre ses erreurs et ses faiblesses si cela s'avère nécessaire.
Mais la plus grande confiance que nous pouvons accorder à l'intelligence: c'est à la nôtre que nous la devons.