MARINE LE PEN. ELECTIONS 2012. MACHINE A VOTER = MACHINE A FRAUDER!

Publié le par relayeur-francais-anti-desinformation

Voici une réflexion sur la suite de la campagne de Marine Le Pen, au lendemain  de l'obtention de ses 500 signatures. Le scénario vaut pour d'autres cas de figure, puisqu'il est  basé sur la manipulation sous toutes ses formes. Cela fait de lui un phénomène intemporel, et que seules, changes les techniques utilisées.

 

MARINE.HENIN.BEAUMONT

 

Fin de la phase I : l'Empêchement souterrain.

Après l'action avortée pour empêcher Marine Le Pen d'accéder au premier tour des élections par la non obtention de ses signatures :

http://blogduconseiller.over-blog.com/article-le-document-qui-montre-que-la-droite-travaille-bien-sur-l-hypothese-d-une-absence-de-le-pen-a-la-pre-98499129-comments.html#anchorComment

 

Installation de la phase II : Déstabilisation psychologique.

Attendons-nous à des surprises de taille de la part des UMPS, comme l'utilisation de la basse-calomnie contre Marine. Mais ne nous y trompons pas, toute cette agitation aura plusieurs objectifs :

1° Celui de la déstabiliser.

2° Semer le doute dans l'esprit de certains électeurs tièdes ou hésitants.

3° Nous occuper l'esprit, sur des ''futilités'' .

4° Celui de préparer l'action qui me semble la plus efficace, car la plus insidieuse, sournoise  et la moins détectable . Elle est en plus soutenue par le gouvernement et sera tôt ou tard acceptée par la masse des citoyens électeurs. J'ai nommé : la machine à voter, ou la manipulation des votes à l'aide de l'ordinateur appelé fallacieusement  ''urne électronique'' !

 

Préparation de la phase III : Utilisation de l'arme informatique.

On peut trouver sur le site du Ministère de l'Intérieur un article qui sans le dévoiler vraiment incite les communes à se procurer la machine à voter, en leur garantissant la sécurité de machines agrées par l’État :

« Les communes peuvent utiliser des machines à voter à l'occasion des scrutins.


MACHINE.A.VOTER.FRANCE


Conformément à l'article L. 57-1 du code électoral, les machines à voter peuvent être utilisées dans les communes de plus de 3 500 habitants figurant sur une liste fixée, dans chaque département, par arrêté préfectoral. Elles doivent être d'un modèle agréé par arrêté du ministre de l'intérieur.

Les modèles de machines sont agréés sur la base de la vérification de leur conformité au "Règlement technique fixant les conditions d'agrément des machines à voter" approuvé par l'arrêté du 17 novembre 2003 (à télécharger). Les modèles agréés sont la version "2.07" de la machine à voter de la société Île-de-France élection, le modèle "iVotronic" de la société ES&S Datamatique et le modèle "Point & Vote" de la société Indra Sistemas SA. » 

http://www.interieur.gouv.fr/sections/a_votre_service/elections/comment_voter/machines-voter


Les interrogations en matière de fraudes électorales.

Un article publié en 2006 sur un site web néerlandais nommé « Wij vertrouwen stemcomputers niet » (traduction : Nous ne faisons pas confiance aux machines à voter ») détaille une série de failles que des chercheurs en e-voting déclarent avoir trouvées sur une machine, l'ES3B, utilisée aux Pays-Bas, en Allemagne, et en France. L'équipe de

chercheurs, conduite par Rop Gonggrijp et Willem-Jan Hengeveld, a passé un mois à étudier le fonctionnement de la machine et a conclu :

« N'importe qui, ayant un accès bref aux périphériques, à n'importe quel moment avant une élection, peut obtenir un contrôle complet et pratiquement indétectable des résultats de l'élection ».

Pour plus d'information sur le sujet, je vous suggère d’aller visiter cette page : Machine à voter, machine à truquer :

http://www.nonalaguerre.com/~CL/pages/articles/presidentielles/42-MACHINEAVOTER.pdf


Comment frauder

Mais voici ce que l'on peut également trouver à propos du vote électronique sur le site : Infos-du-Net.com :

« Le concept du vote électronique n'est pas toujours très bien accueilli en France, mais il est bien ancré aux États-Unis, ce qui rend cette info si sensible. Des hackers ont démontré la possibilité de remplacer en quelques minutes la mémoire CompactFlash de l'ordinateur à voter par une autre, faisant booster la machine dessus et exécutant un virus.

Problème, le MALWARE permet de voler des voix de manière invisible, et peut contaminer d'autres machines en réseau sur le même district. Or ces appareils sont portables et peuvent être amenées aux domiciles des responsables juste avant les élections. De plus, il n'y a pas de documentation sur leur fonctionnement interne et peu de traces papiers.

 

ESPIONNAGE.INFORMATIQUES.2

 

DieBold, créateur du système, a utilisé la justice pour éviter des audits de sécurité et muselé les critiques. Des solutions ouvertes et documentées car OpenSource existent mais la société refuse toute discussion. Le débat contestataire sur les résultats tendancieux des présidentielles Bush / Al Gore pourrait bien refaire surface. »

http://www.infos-du-net.com/actualite/8001-machine-vote.html

 

En France : Position des entreprises organisations et partis politiques.

En France, certaines organisations tentent de promouvoir le vote électronique.

Lors de l'élection présidentielle de 2007, huit des douze candidats ont pris position pour un moratoire sur le vote

électronique. Trois n'ont pas pris position et un seul a soutenu le vote électronique : Nicolas Sarkozy.

Plusieurs partis politiques émettent des doutes sur l'utilisation de ces machines.

En 2007, certains d'entre eux voyaient un risque dans les machines à voter, notamment les verts le PS avec son mouvement de jeunesse, Marine Le Pen, et François Bayrou (MODEM), ainsi que des mandataires locaux. Depuis, il semble que beaucoup aient changé d'avis, du moins pour les scrutins organisés au niveau de leur structure politique (procédure d'élection en interne par vote électronique à l'UMP, au MODEM et en projet sur Désir d'Avenir). Cela ne signifie pas que le risque de fraude est toujours réel, mais que la diminution du coût a joué dans la décision.

Le jour du premier tour de la présidentielle de 2007, Philippe de Villiers, candidat du parti MPF, a critiqué ces « machines de hasard » / « machines à tricher ». Pour lui, « Dans l'urne démocratique, il n'y a pas la possibilité de tricher. La machine à voter c'est beaucoup plus compliqué et on peut trafiquer la matrice » tout en émettant un doute sur la transparence des opérations.

 

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Certaines associations dont ordinateurs-de-vote.org pointent les problèmes posés par les machines à voter. Une pétition a même été organisée.

À contre courant, André Santini est un grand promoteur de ces machines. Toutefois, André Santini n'est pas seul ; il est notamment soutenu par les marchands de machines à voter.


Le ministère de l'Intérieur a estimé en 2004 le coût en France des machines à voter à 2 000 euros chacune en moyenne31, mais fin 2007 selon le rapport du Forum des droits sur l'internet, ce coût moyen s'est en fait élevé pour les communes entre 3 000 et 6 000 euros hors taxe par machine, avec un prix moyen de 4 400 euros.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Vote_%C3%A9lectronique#France

 

Conclusion.

La machine à voter -qui n'est pas une urne, mais un néologisme de la Novlangue : mot subliminal, utilisé pour produire certains effets de répulsion ou d’approbation chez le récepteur -, sera la machine diabolique de la multiplication ou de la soustraction des votes, au gré des besoins de l'organisme qui aura en charge de sélectionner les informations engrangées dans l'ordinateur.

Sans vivre dans une perpétuelle inquiétude, interrogez-vous, et enquêtez. Certains et certaines d'entre-nous, disent que nous allons vers une dictature de la pensée par l'utilisation de la technologie. Bien ! Mais ils et elles sont en retard. Car d'autres, lanceurs d'alertes, disent à juste titre que nous sommes déjà dans ce monde du contrôle des masses depuis des années.

 

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Cette distorsion analytique de la réalité, -qui nous fait croire et dire que nous allons vers quelque chose d'hypothétique... alors que nous y sommes déjà-, nous est envoyer par les médias qui nous font presque croire que les événements prennent leurs véritables effets lorsqu’ils sont manifestes et tangibles. Ce mode de penser -très caractéristique de notre culture matérialiste-, se retrouve de façon éclatante dans le domaine de la santé et est soutenue par la médecine, qui laisse à penser que tant que la maladie n'est pas déclarée, il n'a y pas lieu de s'alarmer. Le seul malheur, c'est que toute la potentialité de la pathologie réside dans son installation et non dans sa déclaration. Car au moment où l'on constate les symptômes, il est déjà trop tard.

On peut et on doit, pour des raisons psychologiques appliquer cette forme d'analyse : santé/maladie, à tout ce que nous appréhendons autour de nous. Cela signifie qu'il ne faut pas attendre d'entendre le bruit des bottes dans nos rues, pour commencer à réellement s'inquiéter de notre totalitarisme larvé.

Dans toute la littérature des médecines ancestrales : ayurvédique, chinoise, hippocratique... on parle immanquablement de prévention afin de ne jamais être touché par la maladie. Et bien il en est de même pour les lois sociales. N'attendons pas la crise aiguë, mais faisons de la prévention.

 

N'utilisons pas la constatation des faits, pour ne nous en tenir qu'à la consternation. Non, utilisons cette constatation pour nous diriger vers l'anticipation !

 

Le Relayeur Français

Publié dans Marine Le Pen

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